Informations
spécifiques. L'adhésion à
notre association est fixée à 15€ pour l'année. Les cours
d'élevage Les cours de
greffages sont de 100€ mais vous avez pour vous en cadeau que vous emportez
chez vous, un picking chinois
et une loupe frontale lumineuse. Valeur 40€. ce qui vous
donne la formation à 60€ . Vous repartirez ( dans les 15 jours après) avec au moins une
reine de l’année qui vous sera offerte. Séances de
remise à niveau gratuite pour les adhérents. Les essaims et les reines sont distribués gratuitement aux
adhérents. Nous n'avons rien à vendre. Nous donnons
l'hiver des cours de remise à niveau ou de rattrapage gratuitement. L’argent le
rendement. Nous
découvrons en 2012 : PARKINSON LIRE ICI : http://www.europe1.fr/France/Parkinson-maladie-professionnelle-chez-les-agriculteurs-1079155/ A quand La maladie d’Alzheimer reconnue à son
tour. NEOCOTINOÏDE. Les néonicotinoïdes sont une classe
d'insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes avec une
toxicité inférieure chez les mammifères*.
Les néonicotinoïdes sont parmi les insecticides les plus utilisés à travers
le monde. Plusieurs études scientifiques ont souligné l'impact négatif de
cette famille sur les abeilles et bourdons en laboratoire et en tests
contrôlés ; et de nombreux apiculteurs mettent en cause ces molécules
pour expliquer le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. Pour cette
raison, l'usage de certains insecticides de cette classe a été interdit dans
certains pays, pour autant le lien entre les mortalités anormales des
abeilles et leur utilisation en condition agricole n'a pas été prouvé. * Vous
remarquerez que ces insecticides n’agissent que sur les animaux. Vous y croyez « PAS MOI » Sur l’homme ont en reparlera dans dix
ans. Mais pour le moment il faut vendre pour engraisser une certaine
catégorie de professionnelle. Spermogénèse : les hommes sont-ils de moins en moins fertiles ?mercredi 01 août 2012 à 11h53 Il est mal en point. Sa qualité (la mobilité et la concentration) ne cesse de se détériorer. En cause ? Notre environnement « chimique ». Des scientifiques alertent sur les dangers des perturbateurs endocriniens et du tabac. Explications.
© Thinkstock Des rumeurs commencent à se répandre, timidement, dans les années 1980. « On » dit que les hommes sont moins fertiles, « on » murmure que la qualité du sperme n'est plus ce qu'elle était, « on » incrimine, pêle-mêle, la pollution, les jeans trop serrants, la vie sédentaire, la mauvaise alimentation. Le sujet est un peu tabou et les rumeurs restent au stade des rumeurs, faute d'être étayées par des données scientifiques. Alerte danoiseEn 1992, l'endocrinologue Niels Skakkebaek tire la sonnette d'alarme en publiant, avec ses collègues de l'hôpital universitaire de Copenhague, la première étude démontrant la chute de la fertilité des hommes. Skakkebaek a étudié à la loupe une soixantaine d'articles publiés entre 1938 et 1990, consacrés à l'analyse du sperme de 15 000 hommes fertiles et en bonne santé, issus, essentiellement d'Amérique et d'Europe du Nord. Sa conclusion ? La production spermatique n'a cessé de décroître au fil du temps. Les chiffres parlent. En 1938, la moyenne d'un éjaculat s'élevait à 3,4 millilitres de sperme, avec une concentration moyenne de 113 millions de spermatozoïdes par millilitre. En 1990, la chute est verticale : un éjaculat moyen ne mesure plus que 2,75 millilitres et sa concentration n'atteint que 66 millions de spermatozoïdes. Autrement dit, une baisse de près de 50 % en cinquante ans ! Les résultats de l'étude, publiés dans le très sérieux British Medical Journal, suscitent le scepticisme. Ils dérangent, aussi. On met en doute la façon de procéder de Skakkebaek, on discute sa méthode et on appelle à la rescousse Shanna Swan, une épidémiologiste américaine dont la réputation mondiale est au-dessus de tout soupçon. En 1994, celle-ci passe en revue l'ensemble des travaux publiés sur le sujet dans la littérature savante en y rajoutant une quarantaine de publications scientifiques, les confronte aux analyses de Skakkebaek, fait appel à une méthode statistique « en béton » et... valide les résultats du scientifique danois. Perfectionniste, elle recommence le tout en 2000 et constate que les courbes sont toujours pareilles. Les Français ont du mal à y croire. Pour eux, la stabilité de la production spermatique est une évidence inattaquable et ne peut pas être mise en doute. Piqués au vif, ils décident donc de mettre en route « leur » propre étude. Jacques Auger et Pierre Jouannet, deux spécialistes de la procréation médicalement assistée et fondateurs des Cecos (Centres d'étude et de conservation des £ufs et du sperme), analysent et comparent la qualité du sperme de leurs donneurs entre 1973 et 1992. Et là, stupeur : en deux décennies, la quantité de spermatozoïdes mobiles a été divisé par deux : 102 millions de spermatozoïdes par millilitre en 1973 et 51 millions de spermatozoïdes, exactement la moitié, en 1992. De surcroît, la baisse de quantité s'est accompagnée d'une baisse de qualité : une concentration et une mobilité réduites ainsi que des anomalies de forme ayant pour conséquence une diminution de la fertilité. Les résultats sont publiés dans le livre La fertilité est-elle en danger ? (éd. La Découverte). Les scientifiques ne dramatisent pas, mais sont formels : oui, le sperme humain (la qualité et la concentration de spermatozoïdes) est en train de décliner. Autre constat inquiétant : une hausse de malformations congénitales. Les études plus récentes (2009), menées par le Cecos, le confirment : dans certaines régions du monde, l'homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que son père. L'environnement en cause« Même s'il n'existe pas d'étude belge spécifique sur le sujet, les travaux danois et français font référence et ont amorcé une conscientisation dans ce domaine, affirme le Dr Anne Delbaere, chef du service de procréation assistée à l'hôpital universitaire Erasme à Bruxelles. Le déclin significatif de la production de spermatozoïdes est bien une réalité. » Mais il est trop rapide pour avoir une cause génétique. Alors que s'est-il passé ? Les scientifiques suggèrent l'effet environnemental toxique sur la spermatogénèse. On constate en effet que l'environnement et, plus précisément, l'environnement urbain influencent la qualité du sperme. Celle-ci varie selon les villes, ce qui prouverait l'influence de l'environnement. De leur côté, les observateurs de la faune sauvage pointent une féminisation de certaines espèces. Les organes sexuels de certains oiseaux, tortues, poissons (et même des alligators !) s'atrophient et ont pour conséquence une diminution de la fertilité. Or ces animaux évoluent dans un environnement qui est ou a été contaminé par des molécules chimiques provenant de l'industrie ou de l'agriculture. Certes, les liens de cause à effet sont très difficiles à mettre en évidence, mais le sujet préoccupe toute la communauté scientifique. Epidémiologistes, toxicologues et andrologues se mettent d'accord sur la conclusion : des dizaines de milliers de molécules chimiques « furtives » (car personne ne se rend pas vraiment compte de leur présence, et pourtant ils font des dégâts) se baladent dans l'environnement, et certaines perturbent le rôle des hormones (d'où leur nom de « perturbateurs endocriniens ») en modifiant, notamment, les conditions nécessaires à la masculinisation des espèces. « Ces modifications peuvent commencer in utero, lors de l'exposition
maternelle à certains perturbateurs endocriniens qui ont une activité
anti-androgénique, autrement dit, un impact sur le développement des organes
génitaux des garçons », poursuit le Dr Anne Delbaere. Parmi les perturbateurs
endocriniens les plus incriminés et les plus préoccupants, on cite en premier
lieu les phtalates. On les retrouve dans un grand nombre de produits d'usage
quotidien, bouteilles et gobelets en plastique, gants, bottes, tissus
synthétiques, sprays et colles. Le bisphénol A est un autre grand coupable.
De multiples objets de consommation courante en contiennent : des intérieurs
de canettes, de boîtes de conserve et de couvercles de bocaux, aspirateurs,
lave-vaisselle et réfrigérateurs, revêtements de sols type linoléum, meubles
et vaisselle en plastique, CD et DVD. Certains solvants, insecticides et
pesticides complètent la liste. Durant la grossesse et, donc, durant
l'organogénèse, ces perturbateurs endocriniens auraient plusieurs effets
indésirables, parmi lesquels l'altération de la production spermatique, le
déclin de la fertilité et les malformations uro-génitales chez les garçons.
Et ces effets-là sont irréversibles. D'autres signes interpellent les scientifiques. Tout d'abord, une augmentation du cancer du testicule. Selon la Fondation Registre du cancer, celui-ci a augmenté en Belgique de 20 % entre 2004 et 2008 et 318 nouveaux diagnostics ont été enregistrés en 2008. Ce cancer, certes assez rare, touche des hommes jeunes, entre 15 et 49 ans. Autre constat : un boom inquiétant des malformations du petit garçon à la naissance. Durant la vie f£tale, un processus délicat se met en place : la formation des testicules et leur descente dans les bourses. Quand les testicules ne sont pas descendus, on parle de cryptorchidie. Par ailleurs, la formation de l'urètre dans le pénis peut également être perturbée. Au lieu de s'ouvrir au niveau du gland, l'urètre se termine par une ouverture de largeur variable sous le pénis ou, même, au niveau des bourses. On appelle ce symptôme l'hypospadias. Niels Skakkebaek est convaincu que ces deux symptômes, tout comme l'augmentation du cancer du testicule, sont liés à la détérioration de la qualité du sperme et ont la même origine f£tale et environnementale. Il les a baptisés « le syndrome de dysgénésie testiculaire (TDS) ». « Ces phénomènes pourraient en effet avoir leur origine in utero, mais le lien entre la qualité du sperme et le TDS n'est pas démontré et ne fait pas encore l'unanimité au sein de la communauté scientifique », tempère le Dr Delbaere. Une incidence sur la procréationC'est donc une certitude : la qualité du sperme diminue, en mobilité et en concentration. Et ces paramètres ont des répercussions sur le délai nécessaire aux couples pour concevoir et sur les demandes, de plus en plus nombreuses, d'assistance médicale à la procréation. En Belgique, un couple sur cinq consulte parce qu'il ne parvient pas à avoir d'enfant. Et un couple sur dix est traité pour infertilité. Pionnier dans le domaine, notre pays compte aujourd'hui 16 centres de PMA (procréation médicalement assistée) de type A, qui proposent le bilan et le traitement, et 18 centres de type B disposant, en plus, d'un labo de fécondation. En 2009, sur 128 581 accouchements, 4 463 enfants sont issus de la FIV, soit un enfant sur 29. Grâce aux progrès de la médecine, un seul spermatozoïde suffit pour concevoir un embryon. En laboratoire. Même si le sperme continue à décliner, la survie de l'espèce humaine n'est donc pas réellement menacée. Ceux qui acceptent difficilement que la science prenne le relais de la procréation naturelle (avec ses conséquences psychologiques et les coûts économiques pour la société) n'ont qu'une solution : écarter les perturbateurs endocriniens de leur environnement, arrêter le tabac et adopter une pratique sportive modérée. Barbara
Witkowska Lien : http://www.levif.be/info/actualite/sciences/spermogenese-les-hommes-sont-ils-de-moins-en-moins-fertiles/article-4000156229195.htm Vidéo de 4
minutes écoutez c’est incroyable.. XXX
Rencontres professionnelles Abeilles et environnement
Vidéos de la rencontre
organisée par l’Institut national de la recherche agronomique dans le cadre
du Salon international de l’agriculture, le 3 mars 2010. Introduction
CLIQUER ICI :
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